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L’intelligence artificielle transforme les habitudes d’écriture, y compris dans l’enseignement. Mais modifie-t-elle aussi l’activité cérébrale ? Une équipe de chercheurs s’est penchée sur la question, en comparant le fonctionnement du cerveau lors de la rédaction d’un texte avec ou sans aide d’un outil d’IA. Les résultats, encore préliminaires, intriguent — sans permettre toutefois de conclusions fermes.

En frappant l’Iran par l’algorithme, Israël inaugure une ère où la guerre se joue autant sur les serveurs que sur le terrain. L’IA civile devient un levier stratégique global.

Alors que les outils d’intelligence artificielle comme ChatGPT s’imposent dans les processus créatifs, une étude publiée dans Nature Human Behaviour remet en question leur capacité à générer une véritable diversité d’idées. Si l’IA produit un grand volume de propositions, celles-ci tendent à se ressembler fortement, au point d’inquiéter certains chercheurs sur les risques d’un appauvrissement de la pensée créative.

Le mot clé de la semaine est taxi. Lancement du Robotaxi au Texas, nouvelle mission du Dragon, le taxi pour l’espace et 6ème implant Neuralink, pour retrouver sa mobilité mentale, quand son corps est entièrement paralysé.

Un nombre croissant de recherches tentent de chiffrer la consommation d’énergie de l’IA, même si les entreprises à l’origine des modèles les plus populaires gardent secrètes leurs émissions de carbone.

Plus performantes que jamais, les intelligences artificielles génératives sont capables de rédiger, traduire, planifier, coder… Mais une question persiste : comprenons-nous vraiment comment elles fonctionnent ? Derrière les prouesses des modèles comme GPT-4 ou Claude, se cache une énigme : nous voyons ce qu’ils produisent, mais pas vraiment comment. Et cette zone grise est peut-être une des plus stratégiques du XXIe siècle.

L’intelligence artificielle peut-elle prédire l’avenir ? Musk aimerait bien savoir si sa querelle avec Trump va laisser des séquelles. Premier test : reste-t-il bankable auprès des investisseurs ?

Le fabricant de jouets Mattel annonce s'associer à OpenAI pour développer des produits et des expériences basés sur l’IA.

La start-up franco-allemande Helsing, spécialisée dans les technologies de défense, a réussi une percée remarquée : faire voler un avion de chasse suédois sans aucune intervention humaine. Lors de cet essai, l’appareil a également procédé à une simulation de tir de missile, démontrant ainsi les capacités avancées de son système d’intelligence artificielle.

Aucun algorithme, chatbot ou modèle de langage ne pourra jamais remplacer ce qui fait de nous des êtres humains.

De nombreux appareils - y compris les rasoirs électriques et les brosses à dents - sont devenus « alimentés par l'IA », utilisant des algorithmes d'apprentissage automatique pour suivre la façon dont une personne utilise l'appareil et fournir un retour d'information.

Dans cette nouvelle guerre froide, le champ de bataille n’est plus l’espace ni les océans, mais le cloud. L’arme n’est plus nucléaire, mais algorithmique. Et la ressource décisive n’est plus le pétrole, mais les GPU, ces processeurs graphiques devenus les moteurs de l’intelligence artificielle. Alors que les États-Unis verrouillent l’accès aux puces les plus performantes, l’Europe regarde passer les convois.

On vous l’avait bien dit. Certains vous le rappellerons : il était inenvisageable que deux mâles alpha restent dans la même pièce bien longtemps. Pourtant la violence de leur querelle a surpris. S’ils ne sont plus amis, peuvent-ils rester alliés ?

Plus de six ans après le Grand débat national qui a fait suite au mouvement des « gilets jaunes », la Fondation Jean-Jaurès et Arlequin AI publient mercredi 11 juin un rapport présentant ce qui ressort de ces contributions citoyennes.

D'ici 2050, la population mondiale des adultes de 60 ans et plus devrait dépasser les 2 milliards. Les robots peuvent-ils nous aider à vivre en meilleure santé ?

La France est aujourd’hui profondément dépendante des technologies Microsoft, une situation héritée d’un long processus d’inféodation initié dès les années 1980. De l’Éducation nationale aux grandes entreprises, en passant par les armées et les institutions publiques, cette dépendance technologique s’est enracinée sans véritable débat stratégique. Alors que d’autres pays comme le Danemark tentent de reprendre la main, la France, paralysée par ses cycles politiques courts et l’absence de volonté souveraine, semble incapable d’organiser une sortie. Une vulnérabilité structurelle à la fois économique, géopolitique et numérique, qui pourrait un jour se payer très cher.

Une start-up britannique faisait passer ses 700 développeurs en chair et en os pour une intelligence artificielle révolutionnaire. Même Microsoft s’est fait avoir.

Même les LLM les plus sophistiqués ne sont pas fiables. Malgré cela, les principales entreprises d'IA refusent toujours d'assumer la responsabilité des erreurs.

Alors qu’OpenAI vient de lancer une nouvelle version web de Codex, un agent intelligent capable d’écrire, tester et exécuter du code de manière autonome dans un environnement virtuel, les lignes bougent dans le monde du développement logiciel. Ce nouvel outil destiné aux développeurs professionnels, s’inscrit dans une dynamique plus large de transformation du travail par l’IA, où l’automatisation n’est plus seulement un appui, mais un véritable changement de paradigme.

Présenté par OpenAI comme son logiciel le plus avancé à ce jour, le modèle o3 ne se contenterait pas de briller par ses capacités intellectuelles mais trouverait également le moyen de désobéir aux ordres lui demandant de s'éteindre.